Et le Diable hurla de joie

Varsovie, novembre 2015

Parfois, le plus important c’est ce qu’on ne montre pas.

Vous trouverez dans cet album la première personne à qui j’ai parlé – une SDF à l’aéroport – de la street-photography, de l’urbex, et quelques photos d’architecture. Mais pas le Diable qui hante les rues de Varsovie. Ce voyage a été l’un des plus importants de ma vie, en un sens. Parce qu’il m’a beaucoup appris sur ma propre inconscience. Il m’a fait grandir. Ce n’est pas aussi ça que l’on cherche, au fond, en prenant la route ?


Le baladeur

Attention, c'est bourrin.