Absence
J’avais la flemme ces derniers temps.
La flemme d’éditer mes photos, la flemme d’écrire. Ça sert à rien de forcer. Il fallait juste attendre un peu que l’envie revienne. Nous y voilà.
Ne perdons plus de temps, j’ai six mois de retard à rattraper maintenant.
Nusa Dua
Bienvenue dans le plus bel hôtel où j’ai jamais posé mes valises : le Sofitel de Nusa Dua.
Incroyable, franchement. On s’est tapé un petit kiff le temps d’un weeked, histoire de se relaxer et de faire quelques photos. Une vraie parenthèse enchantée aux frais de la princesse, littéralement.
Komodo
Imaginez un peu voguer sur un bateau d’îles en îles, voir des tortues par dizaines, des requins et des gros gros lézards, des dragons même. L’Indonésie est toujours fermée donc on a toutes ces îles rien que pour nous. Et on s’en donne à cœur-joie, à sauter dans l’eau émeraude et à boire de l’alcool local jusqu’au petit matin.
Et si les photos des dragons de Komodo eux-mêmes sont pas spécialement passionnantes, on s’en fout un peu, parce que ce qui compte surtout, c’est le voyage.
Rêveries
Je suis un grand fan des maisons en bambou dans la jungle.
Sérieux, je trouve ça extraordinaire.
Du coup, j’ai décidé d’en construire une à Bali plus tard.
Vous verrez ☺️
Orages
Eh oui, c’est le retour de la saison des pluies à Bali. J’en profite pour faire une formation accélérée de bahasa avec Eva.
Et quand le ciel est orageux, j’aime bien aller à Ubud. Il y a là-bas un petit quelque chose de magique, d’hors-du-temps. Tout est vert, lourd, lent, le seul endroit où je peux passer des heures dans un café à regarder tomber la pluie sans m’ennuyer.
Les orages sont les bienvenus. Ça nettoie.
Et puis derrière, les beaux jours reviennent toujours.
Sumbawa
C’est une île encore sauvage, pas du tout touristique. Les pêcheurs du coin ont compris que récemment qu’ils pouvaient faire du fric avec les requins-baleines, plutôt que les tuer parce qu’ils abiment leurs filets.
On s’est levés deux fois à 4h du mat pour nager avec eux, mais on n’a rien vu du tout à cause des vagues et du vent. Par contre on s’est retrouvé coincé sous un gazebo en pleine averse avec le fou du village qui nous répétait en boucle « pulluh, pulluh, pulluh ».
Renouveau
J’ai 31 ans.
Nouvelle villa, nouvelles rencontres, nouveau départ.
J’ai l’impression de sortir la tête de l’eau.
On se fait un petit week-end à Amed avec Ren, une petite ville balnéaire qui avait jusque là miraculeusement échappé à ma visite. Mais c’est bientôt le moment de repartir vers de nouvelles aventures, car les frontières commencent doucement à réouvrir…. Enfin !