Le paradis de la street
De Cuba, je ne connaissais rien d’autre que les vieilles bagnoles américaines et deux-trois maisons colorées.
Mais là-bas, plus que nulle part ailleurs, j’ai vite eu la sensation que tout se passait dans la rue. Alors, ma bouteille de rhum à 3$ et moi, on s’est vite barrés du circuit touristique pour partir à la rencontre de tous ces visages extraordinaires qui parcourent les rues de la Havane.
Petites histoires
Le plus beau dans tout ça, c’est que beaucoup d’entre eux ont le temps de discuter avec toi. À Cuba, rien ne presse. C’est même un art de vivre pour certains.
Par exemple, le mec à droite là, il s’appelle Joaquin et c’est un jintero. Son seul but de la journée, c’est de se faire payer des coups par les couillons de touristes comme moi. Rien de bien méchant, c’est comme une sorte de douce redistribution des richesses. Et il est plutôt doué, faut dire.
Pan para hoy, hambre para mañana.
Vinales
Pour s’éloigner un peu de l’agitation de la capitale, rien ne vaut la vallée de Vinales.
Ici, on cultive le cigare et la douceur de vivre.
Terre rouge et grands palmiers, je suis revenu dans le coin plusieurs fois pour profiter de ce magnifique coucher de soleil.
Prenez votre temps, on reviendra bien assez vite à la Havane.
Cubaradise
Oh, et puis pourquoi ne pas profiter d’être dans le coin pour goûter un peu au paradis ?
Bienvenue dans les cayos, petits bouts-du-monde de sable blanc et d’eau turquoise.
C’est le moment ou jamais de vous prendre une bouteille de rhum et de jouer à pirate des caraïbes avec des danois aussi bourrés que vous. En garde moussaillon !
Oui, j’ai passé le plus clair de mon voyage à ne pas l’être.
El gran final
Vous avez sous doute remarqué qu’il n’y a presque que des portraits de rue dans cet album. Parce que ce qui est vraiment beau à Cuba, c’est pas les ruines des vielles maisons espagnoles, c’est les gens qui habitent dedans.
J’aurai vraiment adoré vous raconter les petites histoires qui se cachent derrière chaque photo. Mais ça aurait été sacrément plus dur à suivre. Du coup, si vous voulez les lire, c’est plutôt sur mon Insta ma page Facebook.
Por La Habana, ¡lo más grande!